we're the only heroes here ☮ Debbie Castiells
DATE D'ARRIVEE SUR WCBH : 10/03/2014 MESSAGES : 17 AVATAR : Sandrah H. DON'T BE SUCH A PUSSY, AND SHOW ME WHAT YOU DESERVE TO BE. POINTS : 27
| Sujet: (M/LIBRE) avatar au choix ☮ stranger than kindness Mar 25 Mar - 17:52 | |
| Prénom p. Nom au choix | ID Card prénoms: au choix noms: au choix surnom: l'abruti, mais seulement par Debbie (quoi que...) âge: 17-18-19ans. date et lieu de naissance:au choix groupe: red hots job: au choix, il n'est ps obligé d'en avoir un statut: il se plaît à se dire libre comme l'air. nationalité: étasunien. sexualité: au moins hétéro, pour moi il drague surtout des minettes, mais il a pu tenter d'autres choses aussi. situation financière:classe moyenne. avatar:totalement libre, je n'ai pas tellement d'idées je dois avouer . points importants Sa vie est assez libre. Il faut juste qu'il soit au lycée depuis la première année, et que ses parents soient soit assez cool pour le laisser sortir quand il veut sans prévenir, soit qu'ils s'en fichent (en gros). Et puis, qu'il aime bien faire du charme aux filles, un peu de baratin sans pour autant que ça aille forcément très loin. |
Liens ☮ Ebony Castiells (red hots — avatar au choix) C'est devenu en très peu de temps l'un de ses meilleurs potes. Avec lui, pas question de se raconter leur vies. Oh, ils savent plus ou moins les tragédies, mais ils n'en reparlent pas entre eux, jamais. C'est un accord silencieux qu'ils ont passé : être là l'un pour l'autre, mais pour se remonter le moral, pas pour s'épancher. Il l'a accostée pendant ses premiers jours de lycée, une jolie petite nouvelle, il voulait la draguer un peu. Quand il s'est rendu compte que c'était la cousine de Debbie - qu'il n'appréciait pas du tout à l'époque - il a lâché l'affaire, et naturellement, ils sont devenus amis. Ils font presque toutes leurs soirées ensembles, et Ebony désespère de voir les choses bouger entre Debbie et lui. Elle aimerait bien faire bouger les choses. Liens ☮ Debbie Castiells (red hots — sandrah hellberg) extraits de ma fiche, c'est un peu long - Spoiler:
Il y avait ce mec qui m'avait draguée un peu, et mal à l'aise, je l'avais envoyée bouler. Pourtant, j'aurais aimé être avec lui, je pense. Il n'a pas insisté, se contentant de rire et de me traiter de frigide. La coincée. Alors, on a vraiment commencé à ne pas s'aimer. C'était pas cette haine dégueulante dont tout le monde finit par être au courant à coup de cris et de sang, juste un désaccord de personnalités ; et du coup, on s'évitait. C'était à peine des pics, juste des soupirs exaspérés quand l'un gênait l'autre ou des yeux au ciel et des ricanements que seul l'autre pouvait entendre lorsqu'il disait quelque chose de débile. Des regards, aussi. Des regards qui veulent tout dire, une petite moue dégoûtée et on avait gâché nos journées. Lui, il faisait du bruit, il draguait les minettes et elles gloussaient. Je me disais que si j'avais gloussé, ça aurait été autrement. Différent. Pas forcément mieux. Peut-être même que je l'aurais encore plus haï. J'aurais été capable de lui donner mon coeur et d'oublier de le reprendre. Peut-être qu'au final, on aurait du tout faire pour s'entendre.
(...) J'ai compris jusqu'à quel point Ebony était sociable le jour où je l'ai vue en train de parler avec lui. Je ne lui avais pas dit qu'on ne s'entendait pas avant qu'elle aille lui parler, mais ça m'a fait un choc, je dois dire. Est-ce qu'il allait lui sortir le même baratin qu'à toutes les autres filles - et à moi ? Est-ce qu'elle, elle allait céder ? J'étais en colère. Contre lui, bien sûr. Me dire jalouse était inimaginable. Il l'est toujours. Je ne suis pas jalouse. Je trouve juste ça absurde. Et chiant. Il se conduit comme un gosse. Hey Debbie ! Tu tombes bien, on vient juste d'être invitées à une soirée chez lui, il savait pas qui t'étais. Eh bah voilà, elle, c'est ma cousine, Debbie. Je l'ai fusillé du regard. Lui, pas elle. Pas besoin de savoir pourquoi, c'était comme ça, depuis que je l'ai envoyé boulé. Lui, ça a eu l'air de l'amuser. Une soirée avec la coincée, quoi de plus drôle, en effet ?! Ma cousine a tout de suite compris l'animosité entre nous. Quand elle m'a demandé pourquoi, j'ai pas su lui répondre. C'est vrai ça, pourquoi on se déteste au fond ? Je le comprends pas. Et pour tout te dire, j'ai pas vraiment envie de le comprendre. Elle a hoché la tête. Je ne lui ai pas demandé de s'éloigner de lui - de quel droit l'aurais-je fait ? - et ils ont fini par être amis, détournant cette pseudo-drague qui n'a abouti à rien. Et, à mon plus grand malheur, il est devenu en quelque sorte son meilleur ami. Le genre de meilleur ami qui tombe toujours mal, toujours bien pour m'emmerder. Il passe trop tôt le matin où j'ai décidé de m'accorder une grasse matinée, et est la première personne que je vois lorsque je sors de mon lit pour aller petit-déjeuner, habillée en short trop court et débardeur trop léger. Il a ce sourire narquois et ses yeux qui semblent voir sous mes vêtements lorsqu'Ebony oublie de me prévenir qu'il s'invite avec nous au centre commercial et que je cherche des sous-vêtements. Il arrive au moment de la soirée où je commence à tituber sans pour autant être complètement bourrée et m'emmerde avec ses "oooh, t'es sûre?" sarcastiques quand je lui dis que je sais ce que je fais. Et, sans que je sache comment il fait, quand un mec commence un peu à s’intéresser à moi, il s'immisce toujours entre nous. Pour ça, il a un espèce de sixième sens : "Debbie se fait draguer, empêche-là d'être potentiellement heureuse, dépêche toi. Elle est au fond, tout à gauche, sur le vieux fauteuil". Sérieusement, je suis presque certaine qu'il a un truc comme ça. Des fois, c'est utile. Quand Ebony a disparu et qu'un mec bourré vient s'affaler à côté de - et un peu sur - moi. Comme il sait que je suis "coincée", comme il dit, il en profite. Il laisse ses mains traîner sur mes cuisses, un peu. Un peu trop, je lui dis après. Mais non, tu connais pas Debbie, faut pas s'y prendre comme ça. Debbie c'est pas qu'elle est frigide, mais juste un peu coincée. Elle attend le prince charmant, la pauvre enfant. Il envahit mon espace vital. Déjà lorsqu'il me touche de cette façon, mais c'est aussi ses phrases de provocation susurrées à un centimètre de mon visage, ce stupide narquois aux lèvres, c'est un bras autour de mes épaules lorsque je lui dis qu'il m'exaspère, coupée par son rire. Une main aux fesses, quand il considère que je m'endors. Sa main qui triture mes cheveux, quand lui est en train de s'endormir - parce que, sans qu'on puisse l'expliquer ni l'un ni l'autre, on se retrouve toujours côte à côte. Et puis un baiser, une fois. Une seule, il y a quelques jours. Un sale coup d'Ebony, si vous voulez mon avis. Il avait bu, pas moi - je ne bois jamais beaucoup, je dois surveiller ma cousine et conduire la plupart du temps - et cette imbécile l'a tout d'un coup poussé sur moi, alors qu'on était dans la salle de bain à... je ne sais plus à quoi, mais on était que trois dans cette pièce. Bordel, roulez vous un patin et atténuez cette tension sexuelle ! Et lui, comme un abruti, il l'a fait. Ne jamais se fier à Ebony. Jamais. (ni à mon corps). J'aurais voulu lui arracher les tripes, mais lorsque nos lèvres se sont décollées, elle était déjà partie depuis un moment.
. Depuis, ils n'en ont pas parlé. Debbie pense qu'il avait trop bu pour s'en rappeler, et elle veut pas se faire d'idées, alors agi comme ça n'était jamais arrivé. Pourtant elle y pense tout le temps, en boucle, comme un cercle vicieux. Faudrait en parler pour que ça la libère. |
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