Behind the computer

pseudo: sac à dos.   âge: 17 années.  pays: la france, mon ami.   comment as tu connu we could be heroes?: bazzaaart is so sexyyy.   ton avis: il est vachement cooool.  dernier mot:    crédits gif, icon et avatar: tumblr & ekkinox.

Vue de la fenêtre, le petit parc parait bien fade. Les passants dans leurs gros manteaux d'hiver, se bousculent, fracassant leurs os contre les autres, visiblement bien pressés d'aller dans un endroit chaud, à l'abri du vent. Les couleurs sont toutes différentes, faisant penser qu'il y a beaucoup de personnalités différentes. Le marron et le noir se montrent le plus souvent ; sûrement, car ils reflètent le froid qui ne se gêne pas pour venir picoter le peu de peau découvertes des personnes qui osent sortir dehors. La neige tombe doucement et lourdement sur le sol, faisant glisser plus d'une paire de chaussures. Les gens rient de bon cœur, sourient de toutes leurs dents, la bonne humeur est là et c'est déjà une bien grande chose. Assis sur mon lit baladin, dans ma chambre chauffée, j'observe cette scène avec un sourire amusé accroché à mes lèvres. Les bras croisés contre mon ventre, je balance ma tête d'avant et d'arrière au rythme de la musique, mon pied tapant contre le sol pour imiter les percussions qui se bousculent dans ma tête. Je n'ai jamais été très fan des groupes féminins, mais celui-là, même si j'ignore encore son nom, me plaît bien. Les minutes passent lentement et je me demande quand treize heures sonnera. Je soupire longuement et continue de fixer le paysage devant moi. Je n'ai pas vraiment envie d'aller à ce rendez-vous, je ne vois pas pourquoi mon paternel me force à y aller. Comme si, simplement parce que j'ai cassé le nez du blond stupide qui me sert de cousin, j'ai besoin d'aller voir un psy. Alleeeeez, que les adultes sont stupides. Je m'étire doucement et fronce mon nez avant de frissonner lorsque je remarque que treize heures est passée depuis maintenant seize minutes. Je laisse un léger grognement sortir de ma gorge et sors de ma chambre en courant comme un fou furieux pour aller prendre ma moto. Conduire à grande vitesse est dangereux ? Ouiiii et alors ? Tant que les flics ne me prennent pas, tout va bien. Je suis trop jeune et trop beau pour mourir d'un simple accident de la route. J'arrive très vite devant l'immense bâtiment en quelques minutes et me gare avec rapidité. Bon sang, si mon géniteur apprend que j'y suis allé avec trente minutes de retard ... J'peux dire adieu à mon argent de poche et il est HORS DE QUESTION que je commence à travailler maintenant … Ainsi, je me mets à courir dans les couloirs, ignorant les hurlements incessants des vieux qui me demandent de courir moins bruyamment. Lorsque j'arrive dans la salle d'attente, le psy m'attend déjà, l'air irrité. Je m'excuse dans un murmure avant de le suivre jusqu'à son bureau. Pfff ... et même pas il est sexy et même pas c'est une femme bien faite que je pourrais critiquer en me disant qu'elle est trop superficielle pour pouvoir se trouver un mari. J'me demande c'que j'fous ici sérieux. Je prends place sur un fauteuil sans même attendre son invitation et il me fixe d'un air incrédule. Bah quoi ? Mon père te paie la peau du cul j'suis sûr, alors autant que je profite de ce meuble confortable, non ? Il s'installe ensuite et prend un stylo entre ses doigts. Wesh, t'es gaucher ? ZIVAAA, t'es comme moi, keupaaaain ! Je souris légèrement, croisant les bras contre mon torse, attendant ses questions qui ne serviront à rien. I'm fine, okay ? I don't need you, man. Le seul mec dont j'peux avoir besoin, c'est le gars dans Doctor Who. Ouais. C'est le seul docteur que j'apprécie.

« Je peux vous tutoyer ? » Il me fixe avec un demi-sourire.

Je reprends alors mon sourire tout mignon et hausse des épaules.

« Tu peux faire comme tu veux, je ne me gênerai pas pour te tutoyer, après tout, tu n'dois même pas avoir dix années de plus que moi et ce n'est pas parce que t'es plus âgé que j'vais dire 'vous'. » Un rictus mauvais vient prendre place sur mes lèvres tandis qu'il prend note. J'vous l'ai pas déjà dit ? Je suis du genre à foutre le bordel et à me faire remarquer et même si mon éducation ne m'a pas appris à être ainsi, c'est comme ça que je suis. Bon, je vous avoue aussi qu'en réalité, je ne suis pas si … froid et arrogant. Disons que j'aime juste énervé mon père en me comportant de la sorte.

« Bien. Commençons pas le plus simple. Donne-moi quelques informations sur ton compte. »
« Tu dois déjà savoir les bases, non ? Je me nomme Zaeden Rhoan Jazz-King, mais les autres m'appellent plus souvent Eden. J'ai dix-huit ans et je suis en dernière année au lycée. C'est chiant. Tout c'que j'désire moi, c'est vivre de ma musique. J'sais chanter et jouer de la guitare, mais apparemment, l'paternel n'veut pas que je perce là-dedans, j'crois que c'est pour ça que j'ai planté mes deux auditions. Il doit les payer pour me refuser. Va falloir que je mène mon enquête. Sinon ... j'compte faire des études littéraires, parce que j'adore écrire des ballades, mais mon père veut que j'me lance dans le commerce international et je sais très bien qu'il aura ce qu'il veut. »
« Tu es en train de me dire que ton père serait capable de te blesser pour arriver à ses fins ? » Il hausse des sourcils et je hausse des épaules une nouvelle fois, gonflant mes joues quelques instants.

« Sûrement. Tu ne le connais que de nom. Alexander Jazz-King, l'vieux Rafiki qui tient un centre commercial à New-York, mais moi, j'le connais plus que ça. Il a fait interné mon oncle pour hériter du grand-père, donc bon ... je m'attends à tout avec lui, quoi. »
« Intéressant ... D'après ce que j'ai compris, tu es un jeune homme plutôt calme et distant en général, alors pourquoi avoir frappé ce garçon ? Ce n'est pas la première fois, hein ? »
« Je ne suis pas ainsi en réalité. Disons que c'est une image que je donne à mon père. A l'école, je suis tout ce qu'il y a de plus bisounours. C'est-à-dire que je fais beaucoup des câlins à mes proches, que je souris tout le temps et que je ne me bats presque jamais. Mais au milieu des fils à papa de ma famille ... Ouais et alors ? J'déteste qu'on me manque de respect et qu'on me tourne autour en me lançant des piques. J'ai beau être très protecteur et câlin avec mes proches, je reste néanmoins un être humain et un Jazz-King par-dessus tout. Je me dois de me faire respecter par les autres et pour information, mon cousin l'avait vraiment mérité. » Il écrit une nouvelle fois et le silence me noue l'estomac. Et s'il raconte tout à Rafiki ? Ohgod, j'suis dead. Déjà que j'ai séché pas mal de cours ces dernières semaines en faisant mine d'être malade au lycée ...

« Et ton père est au courant de tout ça ? Ou ... ta mère peut-être ? »
« J'vois pas en quoi ils devraient l'être. Les secrets professionnels obligent. Si tu répètes un truc à mes parents, j'te traîne au tribunal, je connais mes droits. De toute façon, je ne vois pas pourquoi tu leur dirais. Après tout, tu as compris que dans le monde des riches, je ne fais que jouer avec les autres. Je ne veux pas que mon père apprenne qui je suis en réalité. Déjà qu'il a eu du mal à accepter le fait que je sois bisexuel ... si en plus il apprend que son fils est gentil et se laisse marcher sur les pieds pour être fidèle à lui-même ... il me tuerait. T'sais, il a agit de la même façon avec mon jumeau. Dès qu'on a commencé à se rebeller un peu, il nous a viré ici pour qu'on retourne dans le droit chemin. Sauf que ... c'tout le contraire qui se produit, tu vois.»
« Hmm ... d'accord. Changeons de sujet. Parle-moi un peu de ton enfance veux-tu ? Et de ton jumeau.» Il hausse les sourcils tandis que je continue de le fixer. Si mes yeux pouvaient lancer des éclairs à cet instant, il serait déjà mort. Je n'aime pas parler de mon enfance ... c'est une époque que je redoute.

« Que veux-tu que je te dise ? Je suis né un premier janvier. Dès mes premiers mois, c'est une gouvernante qui s'est occupée de moi. Kaelyss qu'elle s'appelait. Elle était très jolie et je m'amusais à l'appeler maman quand ma vraie génitrice n'était pas là. Je n'ai jamais été très proche de mes parents ; ils étaient souvent absents ou en voyage et la seule fois où je suis partie avec mon père, c'est il y a trois ans, lorsqu'il a voulu me montrer les nouveaux trucs de son centre commercial à New-York et encore, ce n'est pas si loin d'ici quand on y réfléchie. J'ai été réellement scolarisé à l'âge de six ans. Avant, c'était des professeurs particuliers qui venaient à la maison pour m'apprendre des choses. Autant te dire que quand j'ai fait ma première rentrée, je n'ai pas été très chaleureux avec les autres, même si au fil du temps et ce, grâce à mon caractère fêtard et amusant, j'ai su me faire quelques amis. Bon, j'avais quand même mon frère à mes côtés, c'était déjà ça. De toute façon, avec Kayden on a toujours été super proche. En même temps, on a la même gueule. Bon ... on n'a pas vraiment le même caractère ... quoi que il est assez timbré quand il s'y met. Quand j'ai eu huit ans, mon père a voulu m'enseigner l'art. J'ai donc choisi d'apprendre la guitare, alors que lui voulait que je prenne des cours de peinture. Mais à l'époque, j'étais capricieux et pleurnichard alors il a finalement accepté, pour mon plus grand plaisir et son plus grand désespoir. J'crois que niveau enfance, j'ai que ça à te dire, parce qu'on n'peut pas faire plus banale que la mienne, tu vois. » Il écrit à une vitesse affolante tandis que je reprends mon souffle avant de faire craquer mes doigts.

« Une enfance digne d'un gosse de riche, quoi. »
« Ouais. On peut dire ça comme ça, je n'sais pas trop. »
« Et pourquoi as-tu choisi de faire la guitare ? Pour te rebeller contre ton père ou tu avais une bonne raison ? »
« T'en poses des questions bizarres toi. Je ne sais pas moi. La guitare m'avait toujours tenté. T'sais, quand tu vois les chanteurs à la télévision avec leur instrument, tu t'identifies à eux, tu te dis que t'aimerais être comme eux et tout le tralala. Tu vois c'que j'veux dire ou ... ? »
« Oui, je vois. » Il gribouille quelque chose et je gonfle mes joues, me disant que je déteste vraiment devoir répondre à des questions me concernant. C'est vrai quoi, je déteste parler de ma famille.

« Et concernant ton adolescence, tu as quelques anecdotes à me donner ? Je ne sais pas moi ... ton premier amour, la plus grosse bêtise que t'as fait ? »
« Franchement, j'crois que t'as compris que je n'suis pas du genre à respecter les règles. J'crois qu'on m'en a tellement donné, des règles à respecter qu'à la longue, j'ai commencé à toutes les esquiver. Je n'sais pas vraiment quand est-ce que j'ai commencé à devenir aussi ... moi, y'a dû avoir un élément déclencheur. Hey ! Mais c'toi le médecin, c'est à toi d'me dire tout ça. »
« Et donc ? Tu n'as pas répondu à ma question Neung Gyeong. »
« J'y viens, j'y viens, tu permets quand même ? Mon premier amour ? Franchement, j'crois que là, ça va être difficile. Je ne suis jamais tombé amoureux ... enfin je crois. Quand j'ai commencé à sortir avec des filles, je ne les aimais pas réellement, moi tout c'que j'voulais, c'était une belle nana pour m'accompagner, comme tous les jeunes, quoi. Puis il y a un an, j'ai découvert que j'étais bisexuel. Me demande pas pourquoi ... je ne préfère pas en parler. Tu veux des conneries ? Bah ... à part que j'ai fracassé la voiture de mon paternel en faisant une course illégale, que j'ai finis en déchet chez un ami après une soirée et tout pleins d'autres trucs, je n'vois pas trop c'que je pourrais te dire. T'as compris comment j'suis, non ? Mais bon, ne tires pas trop de choses de c'que je te dis, j'suis quelqu'un de sympa, hein. Je ne frappe pas tous les gens que je croise, seulement ceux qui m'soulent, sinon, j'suis un peu comme un bisounours avec mes proches, mais avant ça, faut gagner ma confiance. » Il hoche la tête positivement pendant quelques secondes avant de boire dans une bouteille d'eau qu'il sort d'un de ses tiroirs. Je soupire longuement, me demandant combien de temps cela va encore durer et me disant qu'il pourrait me proposer à boire. J'ai soif à force de parler, moi. Connard, va.

« Et sinon, ta relation avec ta famille ? Tu habites toujours chez tes parents ? »
« Bon écoute, j'crois que tu n'as compris que question géniteurs, j'm'en fous complètement. Pour moi, c'est un peu comme s'ils étaient des surplus. Ma mère, je n'lui ai jamais vraiment parlé. La seule véritable conversation que l'on a entretenu tous les deux, c'est quand j'ai eu l'accident avec la voiture de mon père, alors t'imagines un peu le truc, non ? En tout cas, ça ne m'a jamais dérangé. En leur présence, j'suis plutôt du genre à me renfermer, à n'pas montrer mes sentiments, donc bah ... j'crois que j'ai toujours été froid et distant avec elle. En ce qui concerne Rafiki, ouais, je l'appelle comme ça depuis toujours, vas savoir pourquoi. Bah ... Lui, il me tape sur les nerfs. Toujours à me dire c'que j'dois faire, mais bon, pour l'instant, j'assume le fait d'être son fils aîné, parce que ouais, y'a fallut que Kayden naisse après moi, mais dès que mes études sont terminées, il pourra dire au revoir à ses rêves de me transmettre son fichu centre commercial. Si j'habite chez eux ? Quelle ... magnifique blague. J'ai une tête à habiter avec papa, maman ? Non, mais sans rire. Je passe la plupart du temps avec mon frère, dans un appartement que notre père nous loue le temps qu'on termine nos études ici. Et ça me plaît. Trop même. »
« Hmm ... Et sinon, tu ne pourrais pas parler plus ... correctement ? »
« J'parle bien, j'parle vite, j'peux même te faire des rimes. Tu veux que j'essaie ? OK, vas-y, pose-moi une question. »
« J'en conclus donc que ton père veut te forcer à faire des études plus poussées dans un domaine précis ? »
« Hey, tu m'poses une colle. T'as cru j'pouvais faire des rimes avec un sujet aussi pourri ? Mais pour répondre à ta question, oui, c'est lui. Si j'arrive à le persuader, je me lancerai dans des études musicales, tu vois l'genre ? J'crois que c'est un peu le rêve de tous les jeunes de maintenant. » Il hoche la tête à nouveau et je m'étire les bras pendant quelques secondes avant de remarquer qu'il sourit bêtement. QUOI ? QUOI ? QUOI ? T'as un soucie ?

« Tu sembles cacher une autre personnalité, comme si tu étais plus gentil et plus amical que tu ne le fais croire ici, je me trompe ? »
« Je te l'ai dis, tout ça, ce n'est qu'une face cachée. En réalité, je déteste être riche, je déteste devoir vivre au milieu de riches, mais je fais semblant pour que mon paternel soit fier de moi. Tu sais, ce n'est pas facile tous les jours, mais à force, on s'y habitue. »
« Je vois. » Il me sourit et se lève. Je fais de même avant de lui serrer la main, le saluant tranquillement. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je vais l'apprécier, ce psy, même si je ne pense pas revenir très souvent, car comme je l'ai déjà dit, je n'ai pas besoin d'un psychologue, je vais très bien.


-------------------------------

petit, des professeurs particuliers m'ont appris le karate. Je ne sais pas si j'en ai gardé grand-chose, disons que ça fait un bout de temps que je n'en ai pas fait. ♦ je suis allergique aux fraises, le premier ou la première qui essaie de m'en faire manger, je lui pète les dents. ♦ je joue de la guitare depuis mes neuf ans. ♦ je suis un grand fan des Disney. ♦ je n'aime pas beaucoup les groupes féminins et les artistes féminins solo. ♦ je sais parler anglais, français et italien couramment. ♦ je suis un mélomane. ♦ je suis un maniaque de la propreté physique. ♦ j'ai un chat, un bengale nommé luxx. il me suit partout et je l'aime comme mon enfant. il dort avec moi, mange avec moi, se balade avec moi, bref, c'est mon porte bonheur, mon fils, mon mari ... il est tout pour moi c't'animal, tu vois. Alors si tu le touches, le gentil phoenix te fera pousser des cheveux gras sur ta tête. ♦ je donne ma confiance trop facilement. ♦ je suis accro au shopping. ♦ j'aurais aimé rester un enfant ; c'est trop compliqué de grandir. ♦ je ne sais pas nager. je premier qui rigole, je le frappe. ♦ je sais faire craquer mon cou, mes doigts, mes poignets, mon dos et mes orteils. c'est crade ? pas grave. ♦ je suis fan des films de zombies. ♦ je fais la collection des consoles de jeux, mais aussi des peluches Disney. ♦ si tu rentres dans ma chambre, il est sûr que tu tomberas sur un magazine porno. ♦ j'ai peur des orages et du noir ; ouais, un vrai gamin. et ouais, c'est cliché. ♦ j'déteste le coca. ♦ j'suis accro aux jeux d'arcades et aux fêtes foraines. ♦ je fronce très souvent le nez. + je suis né dans une famille très aisé. mon père tient un centre commercial à new-york et ma mère ne bosse pas, elle vit grâce à la thune de "papa". + j'ai un frère jumeau qui vit avec moi ici. c'mon poto. mon keupin. mon fwèwe quoi. + comme je suis l'aîné, mon père veut me refiler son centre commercial quand j'en aurais l'âge. DAFUCK. j'ferai c'que j'veux d'abord. moi, j'veux finir chanteur, alors s'il est pas content, il me déshérite, rien à branler. enfin si ... j'dois branler mon boubou mais ... RAH C'PAS LA MÊME CHOSE BANDE DE PERVERS. + je ne me suis jamais entendu avec ma mère. par contre, je fais des efforts pour rendre mon père fier de moi ... pour le moment. histoire de pouvoir terminer mes études dans le luxe, et ouais. + j'ai passé toute ma primaire et tout mon collège dans des écoles privés. chouette, hein ? fuck. ça m'pétait les boules de devoir rester avec tous ces gosses de riches qui se vantait de leurs bijoux en or massif. wesh gars, j'préfère avoir des potos drôles et qu'en ont rien à foutre de mon fric que des tapettes qui savent même pas c'que c'est qu'un joint. bande d'enflures. +